L’association patrimoine de Saint-Mard vous convie à sa conférence annuelle, le samedi 8 octobre, à 18h00. Bernard Dérivry (ancien président de l’association de mise en valeur de la vieille forge d’Aube) et Alain Morin (président de la Fédération des Amis du Perche) relateront « Brochard, de la métallurgie au thermalisme ».
L’association Patrimoine de Saint-Mard propose une découverte champignons en forêt du Perche et de la Trappe, le samedi 1er octobre, sous la conduite de Mireille Rosenberger. RDV au carrefour de l’Etoile, à 9h30.
La première pierre de la Halle aux grains, laquelle abrite depuis 2013 la médiathèque (et le cinéma qui s’y trouvait déjà), a été posée en 1822.
Pour cette occasion, Damien Castel, historien en arcitecture du patrimoine, viendra retracer le parcours de Pierre-Felix Delarue, notamment la première partie qui s’est déroulée dans l’Orne.
C’est doc lui qui fut l’architecte de la Halle aux grains
Elisabeth Gautier-Desvaux, conservateur du patrimoine et historienne, est également invitée pour contribuer à l’échange sur ce sujet.
A l’image de nombreuses provinces, Le Perche a vu partir des habitants qui ont migré en Nouvelle-France. En 1635, Pierre Boucher et sa famille en faisaient parti. Les 30 et 31 juillet, Mortagnais et Bourchervillois, Percherons et Québéquois, Français et Canadiens, ainsi que les descendants de Pierre Boucher se retrouvaient à Mortagne-au-Perche pour fêter le 400e anniversaire de sa naissance. Les Amis du Perche étaient présents à cette commémoration importante, organisée par la ville de Mortagne et Perche-Canada.
Les Cahiers Percherons voient l’avenir en grand et inaugurent 2022 avec un format adapté aux exigences du confort de lecture et à la place documentaire des illustrations, vecteur à part entière du témoignage historique, au même titre que l’écrit.
Dans ce numéro trimestriel, la figure de Marguerite de Lorraine tient une place éminente, non que l’évocation de cette comtesse du Perche dont la vie s’inscrit entre le Moyen-Age et la Renaissance ait été jusqu’alors absente de nos pages.
S’y ajoutent l’étude archéologique de Fabrice Morand menée avec le concours de Guy Leclerc (« Origny-le-Roux, la gallo-romaine ») et le témoignage ethnologique d’Alain Morin (« toucheuses et guérisseuses »)
Samedi 2 avril après-midi, 91 personnes présentes et représentées se retrouvaient à Verrières pour la traditionnelle assemblée générale, se poursuivant par une découverte du patrimoine local. Retour sur cet après-midi.
Samedi 2 avril 2022, à la salle des fêtes de l’Hôtel de ville de Mortagne-au-Perche, les Amis du Perche et Perche-Canada étaient réunis pour mettre à l’honneur Pierre Boucher, prélude des manifestations à venir cet été. Le nouveau numéro des Cahiers Percherons a été dévoilé et un chèque a été remis à la ville de Mortagne pour la reproduction de la statue du célèbre Mortagnais, se situant actuellement sur la façade du Parlement de Québec.
Les Amis du Perche du Loir-et-Cher et de la Sarthe organisent cette année l’assemblée générale de la Fédération.
Elle se tiendra à Tuffé au château de Chéronne. Vous serez accueillis à sa poterne datant du XVe siècle par la famille Dumielle, propriétaire des lieux, et Julien Hardy médiateur de l’abbaye de Tuffé.
Ils vous en feront la présentation puis nous gagnerons le château pour une assemblée générale au caractère unique, c’est le 75e anniversaire des Amis du Perche.
Deux villages voisins, deux bombes, probablement le même jour, et une reconstruction nécessaire des vitraux confiées à deux maîtres-verriers de talent. A Verrières, Gabriel Loire exprime une esthétique de lumière qu’il développera tout au long de sa brillante carrière ; à Dancé, Paul Bony affirme la modernité expressive de l’Art sacré. Tous les deux créent une spiritualité ancrée dans la Beauté.
Si le Perche conjugue son image avec la constellation de manoirs dispersés dans ses paysages, il n’en abrite pas moins de nombreux châteaux. Châteaux défensifs, mais aussi châteaux de plaisance ou châteaux « d’agrément » représentatifs d’un statut social et voués aux loisirs, essentiellement occupés aux beaux jours et lors de la saison de chasse.
C’est à la découverte de cette seconde catégorie, largement illustrée par de nombreux exemples, qu’Elisabeth Gautier-Desvaux invite les auditeurs. Elle brossera donc un panorama à la fois historique et typologique de ces résidences d’exception en faveur desquelles se dessine un engouement croissant à compter du XVIIe siècle.
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