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CHRONIQUE DE LA PAROISSE DE COURGENARD

Abbé Louis PERSIGNAN (1798-1888)
• Troisième édition, corrigée et augmentée
• Nommé curé de Courgenard (Sarthe) le 1er juillet 1828, l’abbé Louis Persigan entreprend de rédiger une chronique de cette attachante commune du Perche sarthois qu’il va poursuivre jusqu’en mai 1861.

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CHRONIQUE DE LA PAROISSE DE COURGENARD

Catégorie

Description

Abbé Louis PERSIGNAN (1798-1888)

Troisième édition, corrigée et augmentée

Ouvrage de 224 pages, format 145 x 220 mm, impression sur papier vergé ivoire de 90 g.
Huit dessins originaux en quadrichromie. Couverture pelliculée et reliure cartonnée rigide.

Nommé curé de Courgenard (Sarthe) le 1er juillet 1828, l’abbé Louis Persigan entreprend de rédiger une chronique de cette attachante commune du Perche sarthois qu’il va poursuivre jusqu’en mai 1861.

Un manuscrit dont l’intérêt historique majeur n’a pas échappé à Etienne et Marie-Pierre Gaisne. Ils ont tout mis en œuvre pour sa publication. Une édition, fidèle à l’original, que les scientifiques ne manqueront certainement pas d’apprécier.

C’est ainsi que dans la Chronique de la paroisse de Courgenard se trouvent réunies des descriptions précises et vivantes de lieux, habitations, chapelles et églises. Mille ans d’histoire nous sont contés : de l’occupation du Maine par les Anglais à la fureur révolutionnaire emportant Mme la Marquise de Montbrun sur l’échafaud ; de l’arrivée des Prussiens, en 1815, à la mention des quinze mille bougies éclairant Notre-Dame de Paris pour le mariage de sa Majesté l’Empereur Louis Napoléon III le 29 janvier 1853, sans oublier le passage de ce dernier à La Ferté-Bernard.

Il faut aussi souligner quelques éléments d’un intérêt exceptionnel retrouvés dans cet ouvrage. Louis Persigan ne se contente pas de décrire, il fait également un travail de mémorialiste. Un chapitre est consacré aux “noms de fermes qui n’existent plus”. Fait rare à son époque, il décrit des personnages, des lieux, des situations, avec une précision colorée de charme et de poésie. Le lecteur est plongé au coeur de la campagne de la première moitié du XIXe siècle. Il découvre le pittoresque inégalé de “l’arrivée de la bicyclette en 1841” et se plaît à écouter la mélodie d’une chanson favorite de bergères dont la partition est de surcroît transcrite.

 

Informations complémentaires

Poids 0,500 kg
Dimensions 2,4 × 15,5 × 22,5 cm